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EFFETS DES SONS SUR LE MENTAL HUMAIN

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http://pourlaterre.forum2ouf.com/etude-des-paysages-sonores-f3/ne-pas-agresser-ses-voisins-par-les-sons-t37.htm
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pour lancer le débat, il est question ici de réagir à certains aspects envahissant du bruit, souvent lié à de nouveaux appareils censés réduire la dépense d'énergie: on isole mieux les maisons mais on installe une VMC, on installe des chaudières à granules, on insonorise moins les moteurs.
le bruit a changé d'aspect depuis les années nonante.
La structure même du bruit peut avoir des effets "marketing", c'est à dire comporter des paramètres qu'on pourrait qualifier d'impactant (leur façon de surgir ou de dénoter dans l'environnement) et d'obsédant (leur manière de s'imprimer dans le mental suite à une structure spectrale spécifique et une boucle de redondance temporelle).
Ce sont des "qualités" que les agences publicitaires recherchent, aboutissant à une forme d'agression qui s'ajoute aux sons qui ont naturellement un tel caractère.
C'est ainsi que la musique, et les annonces marketing, en particulier les identités sonores sont devenue des nuisances (par effet d'obsédance)

Entre aussi dans cette catégories des bruits mécaniques qui acquièrent une structure "musicale" renforçant le caractère obsédant.
Musicale: avec une structure mélodique (pas forcément mélodieuse), constituée d'une boucle de redondance, avec une structure harmonique (rarement... harmonieuse!!!
Une foule de bruit ont ainsi, en plus de la nuisance simplement explicable par un cumul d'intensité et de durée, un effet impactant et obsédant.
cela peut aller du ventilateur d'ordinateur présentant des fréquences et sujet à un certain rythme d'arrêt et fonctionnement, au battement de quelques hz de deux moteurs de pompe à chaleur qui perturbe ainsi la fréquence cardiaque...

on le sent: les peuples occidentaux vont craquer. nous vivons déjà des phénomène de rejets, sans pour autant être conscient de l'origine.

Ici on se rencontre pour vulgariser ces caractéristiques qui rendent des sons faibles mentaux-toxiques et de chercher des solution non seulement passives, mais actives, par exemple du design sonore intégrant ces notions pour diminuer les effets mentaux-toxique de ces sons.



PSYCHOLOGIE...
LE TRAUMATISME D'ABANDON.. "ennéatype 4" ou "abandonnique"


Ce traumatisme psychologique est celui qui "invite" par son système de défense à devenir artiste, et hypermnésique... parfois mystique.
C'est un traumatisme très profond qui renvoie à l'enfance en bas âge, voir même la vie intrautérine, peut être même la conception même.

La conscience a perdu l'Amour de vue, a du souffrir de l'abandon de l'Amour aux débuts de la vie.
Par conséquence, l'esprit s'attache à tout en quête de cet Amour fondamental, et faute de s'attacher aux êtres et à l'Amour dans son expression fondamentale, reste attachée aux sons, aux concepts artistiques... Et mène à l'hypersensibilité aux nuisances.
Notez bien qu'il y a une charge affective... ces nuisances blessent parfois gravement... d'autres stimululus par contre soulagent beaucoup... on est artiste et romantique.

L'auteur de ces pages a beaucoup souffert de ce traumatisme sans comprendre vraiment cette invasion de la perception sensorielle... et cette hypersensibilité devenue invalidante (vie sociale impossible)
Jusqu'au jour ou le problème passa d'un coup après une séance... de pleurer dans les bras d'un ami..
Est ce un miracle rare? Cette guérison semble un principe reproductible (compte rendu fait au sexologie Patrick Blachère).

Cela a été soigné d'une façon peu banale mais qui mérite d'être décrite..

Une explication de ce traumatisme, version "pyscho" est décrite ici.
http://www.aidepsy.be/en_savoir_plus_abandonnisme
 
La solution que je défend pour soigner l'abandon, est de combler le manque essentiel refoulé alimentant cette sensation d'abandon..
ce manque est, je le précise bien non pas vécu seulement mentalement mais aussi au niveau sensitif (audition avec persistance des son, vision avec fixations sur les détails, sentiments d'agression avec certaines "oeuvres" artistique)..

L'expression symbolique sociale qui n'est qu'une dérivation de cette énergie, est de chercher à être pas banal, en tout point, des modes de vies à la tenue vestimentaires et aux maladies "choisies"... Car l'abandon a été vécu, et briller par la différence provient de l'ENVIE d'être récupéré en se faisant remarquer, en provoquant même... ce qui provoque des problèmes sociaux (en provoquant et en étant original on s'attire des attitudes d'abandon par les autres amis).


En guérir?! un artiste craindra de perdre sa source d'inspiration! en particulier le romantique...
 
En guerir?! comment.
La psychanalyse et la psychologie échouent généralement avec les instrospection par analyse mentale qui vont dans le sens inverse de la guérison dans la logique d'explorer la souffrance qui n'a pas sa source là, et s'y complaire sans en résoudre la cause plus fondamentale qui est sensitive, corporelle, non verbale, vécue AU PRÉSENT et non dans les souvenirs et qui siège dans l'Amour fondamental d'avant l'identification sexuelle en tant qu'empreinte d'un TROU senso-affectif de la conscience du BÉBÉ REFOULÉ.. C'est un abandon plus fondamental hors des pensées, qui demande à être résolu par le vécu d'une expérience complète.
être contenu, entouré et serré dans les bras... et se sentir aimé en étant "petit et dépendant"... facsiné. C'est bien différent de l'amour pour une femme..

ce qui est incomplet est d'être venu à la vie... sans se sentir accueilli!
On peut aussi porter les émotions de membres de la famille qui ont vécu l'abandon... par transmission, quand on est à l'âge ou le "moi" est fusionné avec celui des membres de la famille.

l'expérience complète peut être donc vécu en se trouvant accueilli cette fois, DANS LA VIE corps et âme.
Les amitiés, le sexe, les relations, au delà de l'enfance n'accueillent pas en effet le corps... même le sexe: il manque l'Amour fondamental qui ne s'obtient il semble qu'il ne puisse en être autrement, que par relation fusionnelel avec identification à l'autre alors que le sexe est une relation de complétude (rien à voir, c'est pas dans les besoins)

ATTENTION dépendance, infantilisation, régression, relation fusionnelle = outils pour les sectes!!!

Le besoin est celui ci.. redevenir un bébé, régresser mentalement, en se rendant fusionnel et dépendant d'un être aimant représentant le père et la mère pour se combler des câlins qu'on a pas eu... se faire consoler... et ainsi combler ce besoin qui alimentait toute cette compulsion...  
évidémment, il faut oser.
Il faut souffrir pour le faire spontanément...
 
ATTENTION PIÈGE.  

 l'être aimant qui vous rendra le service de vous consoler... celui qui répond le plus facilement à votre demande,  aura de grandes chances d'être un NÉVROSÉ de la peur d'abandon .
Il y'en a à peu près une personne sur 10 à 30, mais comme ces personnes entretiennent 10 à 30 amis...
Il y a de grande chance pour que vous en connaissez un!

C'est votre complémentaire!!! (ennéatype 2 sauveur qui aide sans attendre de retour)

Névrosé de la peur d'être comme vous..

il a eu peur d'être abandonné au moment de construire sa personalité...
Il conjure cette peur ainsi: il cherche à aider et consoler les gens pour extérioriser des manques refoulés (pour être gentil et aimable il a refoulé depuis sa plus tendre enfance les besoins de pleurer et demander, pour ne pas être abandonné par les parents qui n'ont rien à faire d'un gosse qui chiale...)
Pour dénier ses besoins, il réprime ses pensées pour vivre les sentiments des autres à la place des siens et se projette en vous.
Ces personnes pensent peu.. elles sont compatissantes, vous soutiennent du regard, et cherchent à vous... consoler!
Mais alors vous devenez dépendant.
Il entretient un vaste réseaux d'ami pour se rassurer qu'il ne sera pas seul mais en même temps craint l'intilité dans mes relations... il s'assure de ne pas avoir le temps de l'entretenir... Ce manque de temps sera l'élément frustrant qui rend dépendant avec la tendance à décevoir par rapport à votre demande. c'est "voulu", car cette attente rend dépendant.


La pensée est liée à la terre par le rate/pancréas.. En voulant rendre service sans retour il s'agit en fait de créer une situation de dépendance. En réalité derrière cela il y a d'une part une crainte d'être rejeté et d'en devenir malheureux et triste, et d'autre part un fond de peur refoulée (page 117 Daniel Laurent Morgane Laurent L'énergie vitale des 5 éléments éditeur Guy trédaniel)
 
 Les câlins en attente supports d'une ambivalence PEUR//BESOIN se voient souvent sur le corps: peau sèche et eczéma ou fragilité du poumon (tristesse refoulée)

Jacques Martel Le grand dictionnaire des malaises et des maladies...
PEAU ECZÉMA (page 446) Séparation coeur sexe-enfant chez le 2 examiné ici
Je n'ai pas appris à m'aimer, et comme je crains d'être blessé je vis beaucoup en fonction de ce que les autres attendent de moi, j'ai peur d'être abandonné,
L'excéma me montre aussi une ambivalence face au toucher, j'en ai besoin mais il me fait peur aussi...
alors même que je cherche  à plaire à tout le monde , j'omets de prendre en considération mes propres besoin, tout cela afin de me faire aimer des autres, je suis donc séparé d'une partie de moi. J'agis en fonction des attentes des autres au lieu de faire ce qui me plaît. Je rejette qui je suis...
 

Votre complémentaire aura tendance à masquer son être par des parfums, une tenue impeccable, il est gentil, séducteur, au comportement efféminé (attention, ce n'est pas de l'homosexualité, c'est de l'androgynité). Il aide tout le monde sans attendre de retour:
c'est lui qui vous consolera et vous aidera.. et il ne saura pas dire NON et se confiera peu.
Il invite à l'intîme, vous écoute, semble comprendre... mais il ne dit absolument rien de lui, il se "cache".. Et, signe important termine souvent des mails courts portant aucunne information sur lui par des bizz ou "bisous" (même entre même sexe)
Les messages sont toujours à doubles sens, affectueux mais vides.
les refus sont déguisés..
 
Mais alors, vous, abandonné et en besoin, résolvant votre traumatisme  avec un tel partenaire vous devenez... précisément ce qu'il a eu peur d'être dans cet échange
Un "enfant" qui a besoin d'être aimé, qui pleure pour se faire consoler..

vous devenez le support d'une névrose de transfert.. de sa peur fondamentale qui lui empêche de dire NON: avoir des besoin et par conséquence être abandonné.

Et alors... il vous abandonnera au pire moment.. quand vous y avez pris goût à pleurer pour évacuer les traumatismes les plus profonds, ceux de la naissance... quand  vous avez le plus besoin!!
 
il est donc à prévoir d'avoir à finir de pleurer tout seul. Si la rupture se produit assez tard, vous serez abandonné mais déjà comblé, donc sur la voie de la possible guérison par le détachement mental et le travail psychologique cette fois... cette épreuve difficile est à prendre comme l'épreuve du détachement de la relation fusionnelle et la quête de l'indépendance....

Appliquez là les principes de sagesse des religions qui vous inspirent...  et recyclez ces pleurs en "componction" (pleurer d'Amour pour Dieu, sachant que Dieu, c'est votre vérité intérieure aussi bien que le principe vital de ce qui existe autour de vous) pour que cette fois cela ne mène pas à laisser une plaie ouverte...

Si votre partenaire de "chialer sa vie"  dépasse cela il suffira de lui rendre plus tard la consolation qu'il vous a donné pour qu'il guérisse aussi de sa compulsion inverse de la vôtre... Lui donner les câlins d'enfants pour calmer les besoins qui alimentent  la peur d'être abandonnée en évitant l'intimité et l'amitié véritable.  
 
je réfère au document qui incitent à prendre cette voie.
 
http://www.redpsy.com/infopsy/noeuds.html
 
les deux racines des noeuds

Pour bien comprendre ce texte il est préférable d'avoir lu "Les noeuds dans nos relations" . Dans ce texte, j'ai présenté ce que j'appelle "les noeuds" que nous rencontrons constamment dans nos relations les plus importantes. Ces noeuds se manifestent sous la forme d'insatisfactions chroniques devant lesquelles on a une impression d'impuissance. Nous butons régulièrement sur ces difficultés. C'est pourquoi je leur ai donné le nom de "noeuds".
 
Ces noeuds qui nous étouffent et nous empêchent d'avancer autant qu'on le voudrait, prennent racine dans deux genres d'expériences. Aussi étonnant que cela puisse paraître, ils proviennent de nos tentatives de relever des défis de croissance personnelle. Ils proviennent aussi des expériences émotives du passé que nous avons négligé de vivre complètement

 
http://redpsy.com/infopsy/noeuds3.html
Le combat "contre" un besoin est une lutte parfaitement stérile car l'existence du besoin n'est pas soumise à la volonté. À cet égard, les besoins psychiques fonctionnent sur le même modèle que les besoins physiques: on ne le choisit pas.

 

Besoins à combler.. céder donc à la dépendance d'une relation fusionnelle et dépendante pour en faire une thérapie... (il y a des règles sinon ça n'aboutit qu'à répéter la "névrose d'abandon)
 
Les règles que j'ai cru découvrir..

faire des séances pontuelles, de durée d'au moins 3h, est espacées de 3 à 6 semaines... et consacrer, environ 1 à 2 ans.
Ne pas mélanger cette relation avec la vie, l'amitié.. en lui réservant un cadre.
 
Après cette phase de comblement vient la phase... de détachement et d'indépendance.
 
je laisse parler  
 
http://redpsy.com/infopsy/liberte.html
http://www.redpsy.com/infopsy/dependance.html
http://redpsy.com/infopsy/noeuds.html