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Méthode

page mise à jour le 20010123

RÉSUMÉ.

Il faut utiliser une méthode de cartographie et respecter certaines conventions: par exemple toujours noter clairement et sans ambiguïtés possibles l'heure internationale , la date, la latitude et longitude du lieu (donc retrouver par la même occasion l'heure solaire qui sera utilisée comme l'heure de base de travail), ces données sont obtenues à la carte ou au GPS. Le tout doit survivre à l'évolution de l'informatique, ce qui incite à utiliser comme base des fichiers universellement recconus, ne dépendant pas d'un logiciel évoluant rapidement...
Les noms des fichiers archivés sont codés en code QRA locator (exemple 19990728JN25VSHI_2120S.wav)outre leur faible longueur permettent de se servir des systèmes de recherches alphabétiques inclus dans tous les sytèmes d'exploitation pour faciliter ensuite tri, recherches et archivage sans aide de logiciels compliqués et incompatibles entre systèmes (et époque!).
Le but du C.E.S.N.A est donc: en plus de créer une sonothèque commune aux preneurs de son associés, de rendre facile l'utilisation de cette méthode, la populariser lors de stages par exemple, et l'utiliser bien sur pour posséder une sonothèque qui restera cohérente quand elle grossira!

Une méthode d'archivage est conçue pour être utilisé par d'autres personnes, plus tard, et peut être à l'autre bout du monde, qui n'auront plus connaissance d'un contexte particulier, comme celle d'une région lointaine... Qui par exemple à part ceux du "pays" seront retrouver rapidement où est " la lône Béard, charbonod, 70 km Est lyon, France...",. En effet, arriver sur les lieux en demandant aux habitants, vous savez ou c'est la lône de la vielle île (l'autre nom de la lône Béard!), sera 99 fois sur 100 sans recours, les habitants ne connaissant de la régions que les lieux "civilisés"... La bioacoustique doit impérativement se passer de localisation par recherches de lieux dits inconnus, surtout que la plupart des sites n'ont pas de nom!

Même avec une carte il n'est pas évident encore de retrouver exactement où est ce lieu et quand a été fait le document sans pousser assez loin les investigations (par exemple la lône Béard change de nom, IGN l'appelle la lône de la vielle île, de plus, le cours du fleuve s'est déplacé, créant une nouvelle lône, qui ne correspond plus à la carte... Un scientifique voulant se rendre sur les lieux, cherchant par exemple un cri de chauve sourie que l'on pense disparue devra mener des investigation longues et souvent imprécises, et devra déjà avoir commencé des recherche pour avoir cette ébauche de localisation. Une méthode s'impose pour permettre à tout futur utilisateur éventuel des prises de son, (ou même toutes autres observations associées), de pouvoir savoir OÙ et QUAND exactement ont été acquis ces enregistrements et observations associées, avant même de consuletr les documents.

Avec l'informatique, nous obtenons très vite des tas et des tas de fichiers, qu'il faut ouvrir pour en connaitre le contenu ou alors indexer avec des logiçiels de base de données, performants mais nécéssitant de suivre une évolution informatque trop rapide, incompatibles avec de l'archivage sur plus de dix ans. Il faut garder comme base des fichiers bruts: je pense par exemple aux fichiers waves. Linux permet de lister dans des fichiers de texte la liste et l'adresse des fichiers archivés, dans des CD, dans des disques durs, ces textes sont consultables sans logiçiel spécifique par tout ordinateur quel qu'il soit, qu'il soit DOS, linux mac ou autre, pourvu qu'il sache rechercher des chaînes de caractères dans des fichiers texte...

La méthode de nomnage des fichiers permet donc d'utiliser leur nom pour les situer dans le temps et dans l'espace, ce qui en dit déjà long, et ce sans même les consulter, par exemple 200011210934_22b_jn25vsih39_.jpg est une photo prise le 21 novembre 2000 à 09h34 heure locale solaire, à jn25vsih39, c'est à dire exactement à 45°45'49.37N 05°46'43.75E . (Un simple programme permet de traduire ce code, on peut même le faire manuellement). Un Australien par exemple, commençera à consulter un atlas mondial et trouvera une zone comprise vers 45°N et 05°E (tiens? c'est dans la france, en Europe), puis en consultant une carte un peu plus précise, il trouvera la région (Ha? c'est juste à coté d'un fleuve vers un lac, voyons voir, c'est grand... Le Bourget). Ensuite il sait où aller, et quelle carte détaillée se procurer, et si il a un GPS, il retrouvera encore plus facilement le lieu, et ce à 30mètres près, ce qui est inférieur à la portée d'une stridulation de sauterelle! Le tout sans avoir a mener une enquète pour retrouver des lieux dit qui ont changé de nom à chaque évolution du dialecte local... (même en france, avec le patois...).

Ainsi le cesna propose de toujours nomner de cette manière tout document (photo, prise de son observation, avec ce sytème d'indexation). La liste des fichiers étant listé dans un fichier de texte, il n'y aura pas trop de problème de dépendances de logiçiels: on aura dans la sonothèque des fichiers bruts (donc consultables facilement sans dépendance avec un logiçiel), et des fichiers de texte (consultables avec n'importe quoi!). Cela évite à recourir à des programmes de bases de données, ou autres qui augmente la dépendance informatique et la difficulté de survivance des très vielle données (on mise sur plus de cent ans!) dans le futur...
 
 
 
 

suite
 

 
 
 
 
 
 

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Important!!!
 

Avoir à l'esprit que vous communiquerez avec fiabilité vos prises de notes à autrui sera votre première préoccupation!!!

La prise de son commençant évidemment sur le terrain, c'est ici que seront "acquises" les données essentielles: maintenant, non plus tard. Le meilleur moyen est de les dicter directement: ainsi les commentaires sont placés là ou il faut pour les avoir sous la main au moment d'un travail les utilisant, mais dicter ne suffit pas toujours: vous devriez le soir les rapporter sur un carnet en veillant à écrire non pour vous mais aussi pour les autres qui auraient à vous relire. En effet, la compréhension de notes dictées est très diffiçile sinon impossible à décoder pour un étranger, alors que l'écrit est plus facilement décodable

Ne pas dépendre de logiciels!!!
La faible durée dans le temps des logiciels compatibles entre vieilles et nouvelles versions oblige à se passer d'eux, car gérer des données de formes hétéroclites donnera sinon finalement bien plus de travail aux documentalistes que ces logiciels fluctuants seraient cencés éviter!!!: cela implique un protocole de notation de fichiers utilisant les fonctions de base de n'importe quel système d'exploitation, c'est à dire simplement la recherche d'une chaîne de caractère dans des noms de fichiers, et le classement par ordre alphanumérique. La base de donnée associée à la matière sonore sera donc simplement un simple fichier de texte, rien de plus: ce fichier survivra donc à une évolution informatique rapide, et sera "la base" de tout travail de recherche.
L'équivalent du fichier texte ascii, pour le son est le fichier wave, universellement recconu, et dont le nom, rien que le nom du fichier lui même évoquera l'essentiel: où et quand.
Peu importe avec quoi on obtient et l'on travaille ces fichiers sur le moment, pourvu que la base, puis le résultat des travaux reste toujours des fichiers texte et des fichiers sonores de base.

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Noter.

C'est le seul moyen de pouvoir indexer les archives

où: le lieu doit être connu à mieux que 100m près.

avec les cartes
En consultant des cartes préparées (cliquez dessus pour la voir en plus grand)

Cette carte a été quadrillée selon notre méthode internationale. Le carré qui dans cette carte est nomné JN25VSOK désignera en seulement 8 caractères le lieux dit "creux de l'Hiver", ce carré étant choisi parmi tous ceux du monde entier, avec une précision de 250m près (ce qui équivaut à la portée d'un chant d'oiseau).
Comme vous verrez en détail, cette méthode (utilisée et éprouvée par les radioamateurs) possède des avantages énormes lors d'un travail d'archivage informatique: à savoir l'aide à la "recherche floue" sans logiciel, et l'imbrication d'une cordonnée cartographique précise dans le nom du fichier, sans allonger démesurément ce nom, ce qui laisse place à la date et l'heure.
Une relation très simple (subdivision par 18, puis 10 puis 24 puis 24 puis encore 24 de carrées originaux faisant 10 par 20 degrés) lie ces carrés à une notation classique en latitude et longitude, et il est facile aussi de les tracer sur une carte pour peu de posséder une règle et d'une calculette pourvue de la touche "diviser", cela à partir d'une carte portant des repères donnés en degrés (base greenwich!).

question: pourquoi ne pas avoir utilisé les nouvelle cartes IGN "compatibles GPS"?
Parce que d'une part les carrées proposées sont bien trop grand, d'autre part il n'est pas simple sans GPS de convertir les données en latitude longitude, d'autre part parce que cette méthode n'est pas appliacble à TOUTES les cartes, contrairement à la latitude + longitude.
 

Noter "où" est très simple si l'on dispose d'un GPS:
Un tel appareil est maintenant pas plus gros qu'un combiné téléphonique, et peu onéreux.
Cependant il subsiste des contraintes techniques: le GPS met souvent plusieures minutes à calculer le point. Pour mieux capter les sattelittes, il doit être dégagé, loin du corps, non dans une poche. L'information n'est donc pas disponible immédiatement. On peut remédier à ceci d'une manière originale: le mettre en route au début de la prise de son et le placer dans une petite sacoche aménagée que l'on porte sur la tête comme une lampe frontale, afin de dégager l'antenne!, durant la prise de son, le GPS sera alors dans des conditions satisfaisantes pour faire le point, et l'information sera disponible au moment de la diction.

L'autre problème est parfois l'impossibilité de faire le point dans une forêt dense ou près d'une falaise abrupte. Si possible, choisir un point de référence ou le GPS capte et estimer l'angle et la distance par rapport à ce point fixe ("c'était à 120m à 170° par rapport au point..."
 

Noter quand:  un détail est trop souvent oublié, l'heure adoptée dans le pays que vous visitez est presque toujours FAUSSE!!! Par exemple en bretagne en été lorsque que pour les humains il est soit disant midi (donc le millieu de la journée), pour les mouettes il n'est que 9h42 du matin, c'est à dire le milieu de la matinée! Vous allez vous dire immédiatement que cela est trop compliqué de régler sa montre à l'heure solaire chaque fois que l'on se déplace. Alors réglez une montre (où votre GPS!) TOUJOURS à l'heure internationale: L'heure solaire sera retrouvée par le documentaliste, à tête reposée, grâce à la longitude du lieu (noter où permet en effet de calculer l'heure solaire). Les heure légales sont trop "bizarres" pour être utilisées, car elles ne sont même pas, bien souvent en accord avec le fuseau horaire local, ce qui accentue les décallages entre l'heure naturelle et l'heure humaine. (pour les pays tels que ceux d'europe: retrouver l'heure solaire d'un lieu à une date donnée devient alors une fastidieuse recherche dans les archives des astrologues!!!.)
Précision??? à la minute près?! C'est souhaitable! Les heures de déclenchement de l'activité des grillons, de la disparition des martinets, du tic tic du merle, et d'une infinité de phénomènes se déclenchent pratiquement à la minute près, en particulier autour de l'aube et du crépuscule, et même de midi près de l'équateur: Examiner les variations d'horaires d'une condition à l'autre (en rapprochant des documents) permettra alors de mesurer l'incidence de certains facteurs sur les comportements observés.
L'heure est en fait une donnée abstraite pour les animaux. Par contre ce qui est plus que réel, est l'avancement de la journée par rapport à des axes marquants: L'aube, l'assèchement de la rosée, le milieu de la journée "lumière" (12h00), le milieu de la journée "thermique" (vers 13h 13h30), le crépuscule... le minimum thermique pu maximum d'humidité. C'est pourquoi l'heure solaire est plus "vrai" et permet des comparaisons en des lieux différents, puisque que l'heure solaire est l'heure locale de chaque lieux (on change d'heure solaire même si on ne se déplace que de 50km, d'est en ouest...)
 
 

Indexation des archives. Les fichiers wav sont notés ainsi:

20000523_1918_2022jn25vsii.waw

Cette notation permet en plus de l'avantage d'un nom court, de...

-ne pas avoir d'ennui lors de l'archivage: le nom étant compatible avec la gravure de CD et ne contenant aucun caractère pouvant poser des problèmes, et contenant pourtant une date et un lieu précis.
- Faciliter plus tard la "recherche floue" par chaîne de caractère, cela dans un fichier listant toutes les prises de son archivées, dont voici un exemple (ce travail est devenu extrèmement facile sous LINUX car il suffit de demander la liste des fichiers d'un cd-rom et de le sortir en ASCII, dans un fichier texte).
La fixation du protocole à été affinée au fur et à mesure de l'expérience et des besoins de recherche de l'auteur.
Pour l'archivage et la gestion de ces archives, il ne faut qu'un explorateur de fichiers, un lecteurs de sons, et un explorateur de fichiers, cela se trouve inclu dans n'importe quel sytème d'exploitation.
Le travail esthétique, qui consiste à utiliser ces fichiers pour en sortir des ambiances agréables et supceptibles de servir pour la sonorisation fait appel à des logiciels plus sophistiqués: le travail en temps réel permet de ne pas modifier ces archives. Le résultat d'un tel travail est le plus souvent un CD-audio, et une jaquette. L'indexation des fichiers par leur nom permet d'avoir à tout moment sous les yeux lors du montage l'information d'originne des prises de son, car c'est le nom du fichiers utilisés qui les transportent: Cette méthode permet donc de travailler en direct-to-disc sans cumuler des erreur de contexte lors de la création des textes d'accompagnement.

Le pourquoi de cette convention et historique.

1997: La pratique de la radiocommunication m'apprend à me servir du code QRAlocator. Le code QRA locator a été mis au point pour des besoins radioamateurs: dire un lieu en télégraphie, le plus rapidement possible, et avec une précision importante, valable internationalement...
J'écrit un programme avec l'aide de François Munier (un ami de classe) en mathématique pour calculer la distance de mes correspondants et vers quel coté tourner l'antenne à partit de la latitude longitude, je fais publier par la revue du REF le résultat de ce premier travail (un programme basic), le REF y publie sans citer mon nom. Les cordonnées sont données sous cette forme, HB9HLM est en JN36KX, FR5HS en LG78RV... L'idée de reprendre ce système pour coder des noms de fichiers vient en 1998 avec la création d'un disque, suite aux heures perdues à chercher les origines des prises de son avec de nombreux heures de correction: c'est trop de boulot! Le code QRA locator est éprouvé et international, je rajoute juste des subdvisions supplémentaires, pour obtenir des codes comme celui-ci JN25VSGI78 (précision 20m)
19990728... Date en quatre chiffres, mois et jour donnés dans cet ordre: comme ceci n'importe quel ordinateur classera spontanément par ordre chronologique les prises de sons présentes dans le disque dur.
JN25VSHI... l'information de lieu: Outre le nom très court, pour une localisation planétaire à 250m près, si on a une liste ahurissante de prises de son  que l'on recherche dans une sonothèque dans le sud-est de la france, sans savoir exactement où chercher, on ne recherchera par exemple que la chaine de caractère JN25 ce qui fera "sortir" tous les fichiers enregistrés entre 45 et 46° de latitude nord et entre 4 et 6 degrés de longitude EST (c'est la technique de "recherche floue)

 Le caractère de soulignement, mai 2000

le caractère de soulignement permet d'utiliser une recherche floue par heure ou par date sans "interférence" entre les groupes de chiffres. Le passage à 20m de la précision du GPS rend possible la localisation à 20m près, ce qui ajoutera 2 chiffres à notre code, par exemple, JNV25VSGI devient JN25VSGI78. Une telle précision est indispensable pour désigner un biotope de petite taille à l'echelle de la carte de répartition de certains insectes.

Juin2000, le choix est fait de placer dans l'ordre date, caractère de soulignemant, QRA. Cela permet de conserver un ordre chronologique pour les prises de son d'un même jour, les extraits sont mis à parts par le début ext, comme ceci: ext20000523_1918_2022jn25vsii_1923.waw. Par contre les documents associés portent le même nom, ou le même début de nom, un sonogramme par exemple précisera le temps d'avancement dans la prise de son: 20000523_1918_2022jn25vsii_1923.tif ou 20000523_1918_2022jn25vsii-00-05-23.jpg

Remarque: le format heure-minute-seconde s'écrit -00-05-23 pour pouvoir exlure ces chiffres des recherche par horaires ou par zones.

Par mesure de précaution on ne devrait pas conserver de fichiers notés en heure zoulou (confirmation obligatoire par l'ajout d'un Z à la suite des chiffres de l'heure): ils seront à renommer en calculant l'heure solaire, sinon, en cas de travail international, on aura un gros surcroît de travail pour regrouper des enregistrements de lieux différent mais ayant en commun le même état d'avancement dans la journée.

L'heure: Heure de début et heure de fin. si un seul code, par exemple 20000523_2022jn25vsii_1923.waw, c'est l'heure de la fin. En effet, il vaut mieux noter l'heure à la fin de la prise de son qu'au début, ne serait ce que pour ne pas faire de bruit, et ne pas gacher une occasion de réussir une prise de son. À la fin, dicter l'heure ne gâche rien, car en général, on arrête le magnétophone à cause d'un avion, ou de la fuite de l'animal... On peut, et on doit ajouter lors de l'archivage l'heure de début de la prise de son, déduite de la longueur du fichier, cela est conseillé pour faciliter les localisation temporelles des observations, les temps affichés étant en effet basé sur le début du fichier.
 

La méthode de conversion et décodage du code "QRA locator" fait appel à une routine simple: le principe est d'imbriquer dans des carrées des autres subdivisions de carrés plus petites. Le rang alphabétique des deux premières  lettres définit les valeurs de longitude puis latitude du premier carré à 10 et 20 ° près, qui est découpé ensuite en 10 par 10 autres parties de 1° par 2° (les deux chiffres) eux même divisés en 24 par 24 (encore deux lettres) puis encore en 24 par 24 (deux dernières lettres). Le choix du nombre de lettres est conçu de manière à éviter les divisions produisant une infinité de chiffres après la virgule. La précision de la version à 8 caractères est de l'ordre de 250m. On pourrait envisager de l'augmenter encore par 10 en rajoutant deux chiffres, mais 250m est largement suffisant dans la majorité des cas.
La précision varie selon le nombre de caractères exprimés: ainsi JN25 désignera une plus grande  zone que JN25VSGI. L'intérêt principal est de pouvoir faire des recherches "floue" par large zones en ne cherchant que le début d'un code.
 

Remarque: les clochers donnent l'heure légale en sonnant. Dans ma région il faut alors retrancher 1h37 pour obtenir l'heure solaire en été.

Remarque: la commande LINUX

ls -l -R -N > /b3/bioacoustique/cd-rom_Archives_audio/cd23.txt

est une révolution: désormais, lister dans un fichier texte tout ce que contient un cdrom prend quelques dixièmes de seconde (sous windows il fallait le faire manuellement, fichiers par fichier. Il suffit de modifier ensuite le fichier en remplaçant la chaine de caractère "1 root root" par le numéro du CD, puis de coller tout ça dans le fichier texte contenant la liste de tout ce qu'il y a dans tous les CD.
 
 

Remarque:
Convertir JN25VSHI en cordonnées latitude longitude et vice versa?: les programmes existent déjà chez les radioamateurs, mais ils n'utilisent que JN25VS et ne sont donc pas assez préçis: J'ai écrit déjà un programme opérationel en langage basic (calculatrice de poche), qui outre les conversions m'informe aussi de la distance et de la direction pour aller d'un carré à l'autre. Communiquer ce programme à n'importe quel ordinateur  n'est qu'une affaire de traduction en langage c ou c++... Sa taille est ridicule (1Ko)
En attendant je propose le service de traduction des prises de notes.
 
 
 
 

voir aussi
 ../details/cartographie.htm
 ../details/code_qra.htm
../details/usage_de_materiel_en_enregistrement.htm